Je voudrais tant que tu te souviennes
Dominique Mainard
Affiner le résultat de recherche avec le type de document Livres Afficher tous les documents ayant la date d'édition : , commele document Je voudrais tant que tu te souviennes 2006Afficher tous les titres de la collection "".Littérature françaiseNombre d'avis des professionnels sur le document Je voudrais tant que tu te souviennes.1 avis pro.Note moyenne des avis des professionnels sur le document Je voudrais tant que tu te souviennes.Rechercher tous les documents ayant comme Genre: Roman
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Description
- Titre(s)
- Je voudrais tant que tu te souviennes
- Auteur(s)
- Dominique Mainard
- Collation
- 1 vol. (247 p.) ; couv. ill. en coul. ; 22 cm
- Collection(s)
- Littérature française
- Année
- 2006
- Genre
- Roman
- Identifiant
- 2-07-078726-5
- Langue(s)
- français
- Prix
- 17,90 EUR
- Editeur(s)
- J. Losfeld
Avis
Des professionnels
le 29 décembre 2015
Ecorché(e)s ordinaires
Le titre emprunté à Prévert annonce une atmosphère mélancolique, mais qu'on ne s'y trompe pas, car ici histoires d'amour et amitié se côtoient. Au-delà des beaux sentiments, les écorché(e)s sont ici présenté(e)s avec douceur et pudeur, et l'écriture poétique sort les protagonistes de leurs destins ordinaires. Deux jeunes filles d'univers bien différents, entre lesquelles une relation forte va néanmoins exister...
« Elle se souvient de l’instant de lucidité que les mots de la jeune fille ont ouvert en elle comme une brèche. Et s’il vous voyait ? Comme elle s’est sentie misérable alors, trahie par Julide, mais surtout par son visage et ses mains pâles et fripés, par sa chevelure qui s’obstine à pousser blanche sous la teinture, par ce qui est au-dehors d’elle et n’est pas vert et jeune comme ce qui a germé à l’intérieur depuis l’arrivée de l’homme. »
« Elle se souvient de l’instant de lucidité que les mots de la jeune fille ont ouvert en elle comme une brèche. Et s’il vous voyait ? Comme elle s’est sentie misérable alors, trahie par Julide, mais surtout par son visage et ses mains pâles et fripés, par sa chevelure qui s’obstine à pousser blanche sous la teinture, par ce qui est au-dehors d’elle et n’est pas vert et jeune comme ce qui a germé à l’intérieur depuis l’arrivée de l’homme. »
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